En 30 ans, plus de 52’760 décès peuvent être attribués aux «politiques migratoires de la forteresse Europe». Voici la liste de leurs noms.
![Forteresse Europe: 52’760 migrants morts en 30 ans](https://www.lsdh.ch/wp-content/uploads/morts-mediterranee-1993-2023-1080x675.png)
En 30 ans, plus de 52’760 décès peuvent être attribués aux «politiques migratoires de la forteresse Europe». Voici la liste de leurs noms.
La section vaudoise de la Ligue suisse des droits de l’Homme vous invite à un café politique pour discuter de la tendance actuelle au durcissement du droit pénal dans les affaires de violences sexuelles. Y aurait-il des alternatives plus efficaces? Pour en discuter, la section vaudoise de la Ligue suisse des droits de l’homme vous propose un Café politique le
Mercredi 26 janvier 2022
De 19h00 à 20h30
A la Maison du peuple de Lausanne
Salle Jean Jaurès
Place Chauderon 5
La section vaudoise de la Ligue suisse des droits de l’Homme (LSDH-VD) a été consultée sur le projet de modification du Code pénal (CP) et du droit pénal des mineurs (DPMin) et, au vu des risques de ce projet, publie sa réponse adressée au Service pénitentiaire vaudois (SPEN).
De manière générale, la LSDH-VD ne soutient pas les modifications proposées et en appelle à l’abandon de ce projet qui:
Nous vous invitons à prendre connaissance de notre réponse complète et motivée qui a été adressée au Service pénitentiaire vaudois le 15 juillet 2020.
Un travail de Bachelor de l’Université de Lausanne mené par Sandra Bonvin, Emilie Burgener, Sandrine Gigandet, Lucie Glaizot, Kevin Hofer, auquel la section vaudoise de la Ligue suisse des droits de l’Homme a participé, s’est penché sur la question de la prise en charge des maladies chroniques en milieu carcéral, afin de tenter d’en cerner la réalité et les enjeux. Ce travail évoque les nombreuses barrières dans l’accès aux soins des « détenus patients chroniques qui, malgré le fait qu’ils soient privés de liberté de mouvement, devraient pouvoir bénéficier des mêmes soins que dans la communauté », ce qui est loin d’être réalisé dans la pratique. Face à ce constat de carence en soins, les auteurs proposent différentes pistes pour améliorer la situation comme la gratuité des soins en milieu carcéral, l’organisation de consultations médicales spécialisées dans les établissements pénitentiaires ou la séparation du budget médical du budget général alloué à la prison.